Comment Mappy peut vous aider à atteindre vos objectifs
Le début d’année est l’occasion de remettre les compteurs à zéro et de se fixer de nouveaux objectifs…
Bien sûr, se fixer des objectifs, c’est bien. Mais les atteindre, c’est mieux. Et pour mettre toutes les chances de notre côté, si on faisait confiance à un spécialiste de l’arrivée à destination ?
La méthode Mappy
Pour commencer, Mappy a besoin des informations suivantes :
- L’adresse de départ
- L’adresse d’arrivée
- Les options de trajet (étapes supplémentaires, mode voiture/piéton/…, avec/sans péages, …)
En retour, Mappy vous donne :
- Une estimation du trajet (une distance, une durée et un coût)
- Un itinéraire détaillé
Vous n’avez plus qu’à suivre les instructions : vous êtes arrivé à destination !
La méthode appliquée à VOS objectifs
L’adresse de départ
Pour pouvoir déterminer votre itinéraire, vous devez savoir d’où vous partez. Ça a l’air évident comme ça, mais ça va mieux en le disant ! 🙂
- Où en êtes-vous actuellement dans l’atteinte de votre objectif ?
- Si vous avez déjà essayé d’atteindre cet objectif par le passé, pourquoi avez-vous échoué et quelles leçons pouvez-vous en tirer ?
- Si vous avez déjà réussi à atteindre un objectif similaire, quels ont été les points clés qui vous ont permis de réussir ?
L’adresse d’arrivée
C’est votre objectif. Quand vous vous demandez si vous y êtes, vous devez pouvoir répondre par oui ou par non. Pas de « peut-être », de « à peu près », de « je sais pas ». Juste oui ou non !
Si votre objectif ne passe pas ce test, il faut le reformuler, l’affiner. Vous devez savoir très précisément où vous voulez arriver.
Les options de trajet
- Y a-t-il des résultats intermédiaires que vous souhaitez absolument obtenir avant d’atteindre votre objectif ? (les étapes intermédiaires, par lesquelles vous voulez absolument passer, quitte à faire un détour)
- Quels moyens voulez-vous utiliser pour atteindre votre objectif ? Voulez-vous le réaliser seul ? Avec l’aide d’un groupe ? En sous-traitant une partie du travail à un professionnel ? (l’équivalent du mode de trajet piéton, transport en commun ou voiture)
- Quelles ressources souhaitez-vous investir dans la réalisation de votre objectif ? Du temps ? De l’argent pour gagner du temps ? (votre « avec ou sans péage »)
L’estimation du trajet
Les informations précédentes vont vous permettre d’estimer les efforts, le temps et l’argent nécessaires pour atteindre votre objectif.
Si ces estimations ne vous semblent pas tenables, c’est maintenant qu’il faut revoir votre objectif ou vos « options de trajet ».
L’itinéraire détaillé
Vous pouvez maintenant construire votre plan d’actions détaillé. Comme l’itinéraire de Mappy, celui-ci doit contenir :
- Des actions (ex : tourner à droite) qui vous permettront de savoir ce que vous avez à faire
- Des résultats concrets (ex : la distance parcourue depuis le départ) pour savoir où vous en êtes
- Des jalons temporels (ex : le temps écoulé depuis le départ) pour vérifier que vous atteindrez votre objectif dans les temps
- Des points de repères (ex : les villes traversées) pour être sûr que vous êtes bien toujours sur la bonne voie
- Des risques identifiés (ex : les radars) pour pouvoir les anticiper
Remarquez bien que l’itinéraire de Mappy ne vous donne pas le déroulement de votre trajet seconde après seconde, mais seulement les informations nécessaires pour que vous arriviez directement à bon port. Par exemple, il ne vous dira pas de vous arrêter au feu rouge. Ce n’est pas le niveau de détail dont vous avez besoin, et si vous croisez un feu rouge en chemin, vous saurez bien de vous-même que vous devez vous arrêter et attendre qu’il repasse au vert pour repartir.
De la même façon, n’essayez pas de tout prévoir lorsque vous construisez votre itinéraire pour atteindre votre objectif. Il y a des choses (opportunités ou aléas) que vous ne pourrez voir qu’une fois en chemin. Votre plan d’action est juste là pour vous guider, pour vous donner la direction à suivre et vous donner les moyens de vous assurer que vous ne faites pas fausse route !
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Bonjour,
Le billet s’avère être d’une importance exceptionnelle. Voilà, on a tous des projets plein la tête et on néglige le plan d’action, on se fie au hasard. Je suis d’accord sur le fait qu’on ne peut pas tout prévoir mais il faut tout de même tracer les points forts du trajet.
Bonjour Ric,
Tout à fait d’accord avec toi. On se dit que ça viendra naturellement au fil du temps… Et c’est comme ça qu’on se retrouve à faire le point mi-décembre, pour se rendre compte que rien n’a avancé. Alors on écrit une todo liste de dingue (qu’il est totalement impossible de réaliser dans les temps) et on arrive aux fêtes de fin d’année sur les rotules !
Que ceux qui ne se sont jamais reconnus dans ce tableau lèvent la main 🙂
Je trouve que prévoir ça sent l’ennuie! Mais avoir une ligne générale ne peut pas faire de mal 😉 (j’adore le design du blog)
Bonjour Thomas,
Je suis à la fois d’accord… et pas d’accord. Ou plutôt, j’ai longtemps pensé exactement comme toi : prévoir, c’est s’interdire de vivre.
Aujourd’hui, je crois qu’il y a prévoir et prévoir.
Pour prendre un exemple concret, j’adore voyager, découvrir de nouveaux horizons et la liberté que cela procure. « Prévoir » à la façon d’un voyage organisé, c’est en effet rigide, ennuyant et frustrant (ne pas pouvoir s’attarder un peu plus dans un endroit magnifique, ou passer un peu plus vite sur un lieu moins palpitant).
En revanche, quand je voyage en indépendante, « prévoir » pour identifier les endroits incontournables et ne pas les manquer ou tomber un jour de fermeture, pour avoir une idée des temps de trajet, du budget est un passeport pour la liberté. Ça me permet de pouvoir à chaque instant revoir mes options, m’adapter aux circonstances, saisir des opportunités et vivre des expériences uniques.
Je crois que le juste milieu, c’est de prévoir assez mais pas trop pour pouvoir continuer à avancer tout en s’adaptant aux circonstances.
Oui se laisser de la souplesse pour changer ses plans au dernier moment est une bonne chose. Mais en cas de souci il faut savoir improviser!